ASSOCIATION FÉCAMP TERRE-NEUVE
QUESTION N° 1 :
HENRI DE MONFREID À FÉCAMP
Henri de Monfreid en Mer rouge, © D R
QUESTION N° 2 :
UN ÉDITEUR POUR ROBERT PERRET
QUESTION N° 3 :
OÙ ALLAIENT LES PREMIERS TERRE-NEUVAS ?
Il semblerait que Henry de Monfreid (1879-1974), lors de son passage à Fécamp en 1907, était sur le point d'acquérir un navire, le trois-mâts goélette Turenne de l'armement Henri Hacher et fils. On sait que, désarmé après la campagne de 1907, ce navire est resté désarmé à Fécamp en 1908, sans doute était-il mis en vente, et qu'il a coulé par voie d'eau l'année suivante, le 27 avril 1909.
Plus tard, Henry de Monfreid écrit Le Naufrageur inspiré peut-être par la fin du bateau terre-neuvas qu’il faillit acheter et qui coula en 1909 ; livre édité par les éditions La Table Ronde en 1950.
L'association recherche deux livres d'Henry de Monfreid ayant un lien avec Fécamp et le Pays de Caux :
- La Triolette, dont l’action se situe du côté de Fécamp, dans le Pays de Caux aux limites de la mer et de la campagne, éditions La Table Ronde, Paris 1948, réédition Grasset.
- Le Naufrageur, dont il est question ci-dessus et qui serait la suite du précédent (à confirmer), éditions La Table Ronde, Paris 1950.
Nous serions très reconnaissants à ceux qui possèdent l’un de ces livres, ou les deux, de nous permettre d’en prendre connaissance. Merci d’avance.
GÉOGRAPHIE DE TERRE-NEUVE PAR ROBERT PERRET
Je recherche une maison d'édition pour publier la « Géographie de Terre-Neuve » par Robert Perret (1881-1965), 375 pages, thèse de l’Université de Paris, publiée pour la première fois par Guilmoto en 1913.
Géographe très distingué, Perret fut plus tard président de la Société de géographie. Il avait fait ses études dans le collège que les Jésuites tenaient alors à Paris, rue de Madrid. Puis il les poursuivit à l’Institut catholique et à la Sorbonne, où il prépara sa licence et son doctorat-ès-lettres. Il fut tout d’abord attiré par les disciplines historiques, et il seconda dans les recherches l’historien Etienne Lamy de l’Académie française. Cependant, deux maîtres devaient l’orienter vers la géographie, Albert de Lapparent et Marcel Dubois.
En 1907, il effectua un voyage à Terre-Neuve et en rapporta une ample documentation en vue de sa thèse.
Ronald Rompkey, Université de Terre-Neuve
Contact : rrompkey@mun.ca
En 1506, le capitaine Jehan Denis se rend à Terre-Neuve sur un navire honfleurais.
En 1508, l'armateur dieppois Ango père, y envoie La Pensée, confiée à maître Thomas Aubert.
La même année un navire de Bréhat décharge à Rouen des morues de Terre-Neuve.
En 1520, le capitaine Nicolas Gautier de Fécamp arme lui aussi un navire pour Terre-Neuve.
Ces premiers voyages ont été repérés dans les archives par différents historiens.
Mais où allaient-ils donc précisément à Terre-Neuve ?
C'est la question que pose Ray Dempsey de Clementsport, NS, Canada, pour ses recherches sur les pêcheurs français à Terre-Neuve.
Ray Dempsey www.canadaharbour.com
QUESTION N° 4 :
LOUIS-FERDINAND CÉLINE À SAINT-PIERRE & MIQUELON
10/01/2009
16/01/2009
18/01/2009
La jeune Saint-Pierraise Jeanne Allain raconte sa rencontre avec Louis-Ferdinand Céline :
« (...) s’il est un chapitre de ma vie auquel je suis particulièrement attachée, c’est bien celui de mon voyage de Bordeaux à Saint-Pierre, en compagnie de Louis-Ferdinand Céline. Le Celte, en provenance de Zeebruge, arrivé deux jours avant à Bordeaux avait chargé deux cent quarante tonnes de marchandises. Vingt-deux hommes composaient l’équipage et quatre passagers embarquèrent pour la destination directe de Saint-Pierre-et-Miquelon : M. Louis Destouches, docteur en médecine, M. René Haran (originaire de l’île), Mme Élisa Allain et moi-même, Jeanne Allain (également originaires de l’île). On appareilla en fin d’après-midi (le 15 avril), c’était le Vendredi Saint (...). À l’heure de la cloche, nous nous sommes retrouvés à la table du commandant dès le premier soir (...). C’est ainsi que j’ai fait la connaissance de l’écrivain que j’appelais “Monsieur” (...). Je garderai toute ma vie l’image de ce grand monsieur à l’imperméable beige et au gros cache-nez à double tour, chaussant des bottes en peau de phoque. À cette époque, je ne savais pas qu’il était écrivain (...). Je lui avais confié que j’aurais aimé rester à Bordeaux mais ma mère avait décidé de repartir à cause des rumeurs de guerre et que l’on serait certainement plus tranquille à Saint-Pierre. Elle avait vu juste (...). Dans un brouillard épais, nous sommes rentrés à Saint-Pierre le mardi 26 avril dans l’après-midi, sous la conduite du pilote (...). Lorsque j’en parle autour de moi, on n’ose pas croire que j’ai côtoyé Louis-Ferdinand Céline pendant onze jours ».
Deux jours plus tard, le 28 avril, Louis Ferdinand Céline repartira pour le Canada à bord du Belle Île, le vapeur qui assure le service postal inter-îles.
Sources :
- Jeanne Allain-Poirier, Ma vie aux îles Saint-Pierre-et-Miquelon. Éditions du Petit Véhicule, 1997.
- Émile Sasco - Joseph Lehuenen, Chronologie des îles Saint-Pierre et Miquelon, 1999.
Un lecteur pourrait-il nous dire si Louis-Ferdinand Céline a écrit quelques lignes sur Saint-Pierre & Miquelon, voire sur cette traversée ? Merci d'avance.
01/02/2009
Le 26 avril 1938, Louis Destouches, connu sous le pseudonyme de Louis-Ferdinand Céline, arrive à Saint-Pierre à bord du petit cargo Celte de la Compagnie Générale de Grande Pêche (ex-Morue Française).
Le Celte, transporte des marchandises diverses pour les établissements de la CGP à Saint-Pierre et Miquelon et des cargaisons de morue au retour. Il avait quitté Bordeaux le 15 avril, commandé par le capitaine Hénaut, et quelques passagers avaient pris passage à son bord.
Question n°1:
un début de réponse à lire sur le site du BOUT- MENTEUX
Louis-Ferdinand Céline a bien fait ce voyage avec Jeanne Allain.
Dans son roman « D'un château l'autre », il raconte qu'à Sigmaringen, il avait sollicité (et obtenu) de Laval, au cas où celui-ci reviendrait au pouvoir, le poste de gouverneur de Saint-Pierre & Miquelon (SPM).
Le « Bulletin célinien » (fondé en 1981 : B.P. 70, B 1000 Bruxelles 22, Belgique) de mai 1984 publie, sous la plume de Florent Morési un « Voyage du Dr Destouches aux îles Saint-Pierre & Miquelon ».
Question n°4 : Réponse de Michel Hoellard - 07/05/2009
QUESTION N° 5
OÙ SONT CES TABLEAUX ?
Le premier de ces tableaux s'intitule "Le départ pour Terre-Neuve" par Bellan, 1906.
Le second représente des pêcheurs perdus en mer. Il est l'œuvre de Chigot en 1900.
Le musée des Terre-Neuvas de Fécamp serait intéressé de savoir dans quels musées ces deux œuvres sont conservées ?
Contact : Mme le conservateur. D'avance, merci
04/12/2009
QUESTION N° 6 :
QELLE EST LA MASSE DE FER DU CHALUTIER RAVENEL ?
La mission "La Recherche de l'Oiseau Blanc" recherche aussi le chalutier Le Ravenel qui a sombré en 1962 avec quinze hommes à bord.
Dans le cadre de la prochaine campagne 2011, nous cherchons à savoir quelle masse de fer ou d'acier le navire tout équipé faisait (incluant les treuils, et les funes, moteur plus divers apparaux) pour préparer une recherche avec un magnétomètre. Ce paramètres est essentiel pour faire une recherche de qualité.
Nous avons les caractéristiques du navire et le nombre de tonneaux, mais ce n'est pas la masse d'acier en globalité.
Hervé Blanchet, responsable technique de la mission.
Contact : drsmparis@aol.com
02/12/2010
Question n°6 : Réponse de Hervé Blanchet - 22/12/2010
Merci pour votre intérêt à cette recherche et la diffusion de cette demande sur votre site.
En fin de compte nous avons trouvé cette information dans le rapport de calcul de stabilité effectué pour la certification du Navire "Le Ravenel".
Il "pèse" 220 tonnes tout équipé, avec l'ensemble de ses équipement de pêche, treuils, funes, moteur et auxiliaires.
Merci encore
Cordialement
H.Blanchet
Denise Téletchéa, née Urdanabia, présidente de l'association N.E.M.O (Nage en Étang, Mer et Océan) à Saint-Pierre et Miquelon, lance un avis de recherche pour obtenir plus de renseignements sur le navire « Pacifique » coulé à cap Sainte-Mary à Terre-neuve le 14 décembre 1928 avec tous les marins, dont son arrière grand-père Gaston, de Saint-Valéry en Caux
Plongeuse chevronnée, elle voudrait plonger sur les lieux si elle pouvait en savoir un peu plus sur la position exacte du naufrage.
On sait qu’une chaloupe avait été retrouvée avec un mort à Fish Harbour, mais les recherches au musée de Saint-Pierre et à Saint-John's à Terre-Neuve ne lui ont pas permis de localiser le lieu précis du naufrage.
Contact : Denise Téletchéa
QUESTION N° 7 :
OÙ EST L'ÉPAVE DU PACIFIQUE ?
Plaque en souvenir du naufrage du Pacifique.
Église de
Theuville-aux-Maillots.
Cliché Mhd
08/04/2011
Question n° 5 : Réponse de Thérèse Kruzynski - 26/05/2011
Merci à Mme Kruzynski qui nous indique qu'elle a trouvé sur le site de la galerie Bayart des renseignements qui répondent à notre question : le tableau "Perdus au large" de Eugène Chigot (1860 - 1927), présenté au Salon de 1891, se trouve au Musée de Nantes.
QUESTION N° 8 :
OÙ A ÉTÉ TROUVÉ LE GOUVERNAIL
REMONTÉ PAR LE DAUPHIN le 19 juillet 1980
Le 19 juillet 1980 à 23 milles au sud de Galantry (Saint-Pierre et Miquelon), le dernier grand chalutier fécampois le Dauphin (armement Ledun) trouva dans son filet un gouvernail que le capitaine Fiquet remit à Saint-Pierre ; où depuis il dessale dans un étang.
Depuis 2 ans, on recherche dans la même région des vestiges de l'OISEAU BLANC avec de gros moyens.
Je recherche donc des renseignements sur la position de cette croche, ou des personnes susceptibles de la connaître.
Contact > Elie Claireaux, Saint-Pierre et Miquelon
QUESTION N° 9 :
QUI AURAIT DES RENSEIGNEMENTS
SUR LE COTRE DE TROUVILLE TR 41 ?
M. Jean Catherine recherche des renseignements sur le cotre de Trouville TR 41 qui a appartenu à son grand-père, et dont un ex-voto figure à la chapelle Notre-Dame du Salut de Fécamp ? Qu'est devenu ce cotre ? Pourquoi cet ex-voto à Fécamp ?
20/08/2011